La Colonialisme et la Religion

1307 Words3 Pages

La Colonialisme et la Religion

Entre les Africains et le pouvoir colonial la seule relation authentique est un

melange de violence et d’hypocrisie; le reste n'est que mascarade. le colonialisme était

quelque chose beaucoup plus sombre, plus sinister. Dans Une vie de boy, Toundi, Un

jeune Noir élevé par un Père Blanc a pris, l'habitude de tenir un journal. Dans le journal,

il enregistre tout ce qui se passe dans le milieu des colons où, malgré lui, à la mort du

Père Blanc, il est devenu le boy de l'administrateur des colonies, le "commandant" de

l'endroit. Rien ne lui échappe. Il découvre deux mondes nouveaux, foncièrement

différents, aveuglés par leurs préjugés, et amenés à coexister. Il exprime sa découverte

puis sa révolte concernant les différences et les injustices qui caractérisent ces deux

mondes, celui du Quartier Noir, un village pauvre dans la ville, celui de la Résidence, la

ville blanche. Enfin, Le monde de Toundi s'effondre lorsqu'il découvre que les Blancs se

retournent contre lui. Toundi meurt d’avoir cru qu’il existait une place pour lui aux côtés

des Blancs.

La religion joue un rôle silencieux, mais dominant, dans le roman. Toutefois, on

peut voir indirectement, que la religion de l’Ouest a une influence négative en Afrique,

qui dérange l’équilibre de la culture africaine traditionnelle et serve comme devise entre

les Africians et les Blancs. Ce que beaucoup de personnes du monde blanc courant ne

savent pas c’est que la religion aussi joue un rôle actif et, c’est surtout une méthode de la

ségrégation et la violence. Le roman révèle la vraie face du colonialisme , c’est un

système violent et oppressif qui était crée exclusivement pour le bienfait des blancs, et la

religion qu’ils ont apportée en Afrique n’est pas un changement moral ni une façade de

gentiesse, mais un outil puissant de l’exploitation.

Un élément important du colonialisme était l’ignorance. A cause des grandes différences qui existaient entre les deux mondes, les colonisateurs n’ont pas considéré le fait que les africains aient déjà leurs propres cultures, leurs propres systèmes politiques, leur propre mode de vivre. Ces cultures, ces systèmes, ces modes étaient différents, alors ils étaient aussi évidemment inférieurs. Ça c’était la philosophie européenne envers les Africains, et l’introductio...

... middle of paper ...

... voler quelque chose. Ils sont battus au point de mort par M. Moreau pendant leur interrogatoire. Leurs morts sont violents, brutales, et plus certainement le meurtre. La réponse du prêtre le prochain dimanche à l’église n’est pas que le meurtre est un affront à Dieu, mais, « Mes chères enfants, priez pour tous ces prisonniers qui meurent sans avoir fait la paix avec Dieu » (115). On peut voir que la religion a sa proper hypocrisie, la violence et la brutalité quand les noirs sont leurs objets sont réellement sanctionnés par L’Eglise.
Enfin, La réalisation de la qualité activement destructive de la religion de Toundi est la réalisation que la religion en Afrique colonial n’était pas un impératif moral , ou un façade de gentiesse,dans le système colonial d’oppression. Au contraire, c’est un instrument du colonialisme aussi coupable que les systèmes sociales racistes, qui ne peut pas être séparé de l’appareil horrible qui a détruit tant de vies. A la fin du roman, Toundi est visité par un prêtre qui offert la rémission de Dieu. A ce point, c’est déjà très clair que le prêtre ne peut pas lui sauver d’un système, d’un monde qui était du début son ennemi.

Open Document